Le Massis de l’Albera est couvert de pins, de chênes verts, de chênes-lièges et d’oliviers qui se sont plantés comme ça, le long des chemins ou des rivières, au hasard des vents. J’imagine récolter ces olives sauvages pour faire de l’huile sauvage, ce serait une huile paléo, km0, sans gluten, ni lactose qui ferait plaisir à beaucoup de monde non?